Entre les coûts d’acquisition jugés trop élevés et les risques d’augmentation du cybersquatting, les nouvelles extensions de nom de domaine proposées par l’ICANN provoquent de multiples levées de bouclier de la part de grandes marques, mais aussi du Ministère du Commerce américain et du Vatican. En effet, le Saint-Siège s’inquiète de cette libéralisation des extensions de nom de domaine et craint les conséquences que pourraient avoir l’apparition sur le Web de sites en .catholic, .islam, .orthodox ou encore .buddhist.
Face à ce taulé, l’ICANN a décidé de réviser son plan et de repousser sa mise en place à la fin de l’année ou au début de l’année prochaine. Une nouvelle consultation est d’ailleurs ouverte jusqu’au 13 avril. L’organisme a également accepté de constituer une « Implementation Recommendation Team » chargée d’étudier précisément la question de la protection des marques. Elle rendra son rapport le 24 mai.
source ITRMobile.com