le CERIST, registre du .DZ, a eu le courage d’affronter un constat qui ne lui fait pas plaisir : 95% des sites internet algériens seraient hébergés à l’étranger, soit environ 45000 sites. Décidé à comprendre les raisons de cette fuite des actifs numériques hors du pays, le CERIST a organisé une réunion à cet effet et s’est vu opposer ses règles bureaucratiques et des tarifs apparemment jugés prohibitifs. Il est vrai que l’organisme n’y va pas de main morte, obligeant par exemple tous les détenteurs de .DZ à héberger leur site web sur ses serveurs.
Des exigences qui ont payé, mais pas dans le sens espéré…